Il est, parfois, des maux intenses :
Maladies d’importance,
Ou blessures de circonstance…
Là, on se sent sans consistance,
Faible, sans résistance
Et on attend de l’assistance…
Avec de la distance !
Alors, sans la moindre constance,
On refuse d’amis l’instance
Et le secours des stances
En espérant, non sans sentences,
De l’insistance ; on crie, on tance,…
On est seul, en partance,
Pour vivre son inexistence
Jours sans joie et nuits sans substance,
Pour fuir toute existence
En éternelle pénitence…
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