Cycle pyrénéen
Les nuages volages, de cirrus cirés en cumulus accumulés, se font nuée embuée avec la brise qui s’irise en une bise qui attise tout. Sous ce souffle essoufflé, le friselis des nues qui s’amoncellent sur des monts écrasés d’ombres annonce la rage du ciel, l’éclair trop clair et l’averse (qui verse).
Dans un clair obscur qui augure un déluge de démiurge, une rafale avale les restes de l’azur si sûr des cieux audacieux, le condamne à la grisaille du grain à venir, aux giboulées qui vont débouler.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire